québécois expressions

Emprunté à la langue anglaise pour en faire un adjectif, le terme signifie : malchanceux, infortuné. Quelque chose (par exemple : « Je lui ai apporté de quoi »), Se faire remarquer en faisant de grands gestes, On va faire de toi quelqu’un de présentable, Piquer une fouille / une planque / une plonge, Une plotte (ou une sacoche) à tailleur (argot sexiste), Une femme qui craque pour un mec qui a une belle voiture (tailleur), Ca nécessite trois personnes pour faire ça, Stie ! Le Québecois ne s’ennivre pas, il vire une brosse. Nom masculin propre au langage populaire québécois, auquel on accorde les sens suivants : (1) une motte, un grumeau ; (2) un magot (ex : «faire le motton», c'est » gagner beaucoup d'argent» ; (3) une émotion (ex : «avoir le motton», donc «avoir la gorge serrée par l'émotion». Nom féminin, issu du terme français «sacosse» (17e siècle), il désignait à l'origine les doubles sacs de cuir servant aux courriers. Ah le Québécois ! Le français … – (les français) Euh non merci, ce sera tout, juste un hamburger… . Juron québécois, dérivé du terme «joual». Dans sa forme française, on écrit ce verbe «barguigner». Pour plus d’expressions québécoises populaires, je vous recommande le dictionnaire québécois (dictionnaire-quebecois.com) et les pages Wikipédia suivantes : français québécois, lexique du français québécois et sacres et jurons québécois. L’expression s’enfarger dans les fleurs du tapis signifie … Click Share to make it public. Adjectif récupéré de l'anglais signifiant dressé de toutes les garnitures proposées. Un pont linguistique entre le Québec et la France. Quiz Expressions québécoises (1) : Je dédie ce quiz à tous nos lointains cousins du Québec. Voici donc un petit glossaire d’expressions québécoises utilisées dans différentes situations de la vie quotidienne telles que parler de la température (sujet favori des québécois-es), être au travail et en classe, être fâché-e et bien plus. Nom féminin propre au langage québécois qui signifie dans une dynamique vulgaire : aguicheuse, allumeuse. Termes culinaires Québécois. Il aurait également été d'usage dans le Nord-Ouest de la France à plusieurs époques. Utiliser dans le sens de : (1) picorer, manger du bout des dents ; (2) picosser quelqu'un, l'agacer, le harceler, l'asticoter. Nom masculin courant dans le langage populaire québécois, emprunté à l'anglais «ratchet screwdriver», il désigne un tournevis à cliquet. La mettre « à la pine » veut dire d’y aller le plus vite possible, en mettant l’aiguille de l’odomètre au maximum. Une prison fermée à double tour, Nous avions sous-estimé le climat du Québec, Nouveaux critères de pointage pour la déclaration d’intérêt pour le Québec, Manque de jours sur le territoire avant expiration de la Carte de Résident Permanent, RAMQ: quand faire les démarches pour son permis de conduire, 9 réponses aux questions que vous vous posez sur Toronto et le Canada, « Le Québec, le meilleur endroit pour y élever sa famille », Bilan très négatif d’une famille de Français après 1 an, Québec et Montréal, 2e et 9e meilleures villes au monde pour les familles. Aller au toast signifie aller vite, dans le sens de la productivité dans une tâche. Ça va faire mal !». Tandis qu’au Québec, on traduit littéralement les termes anglais : Ouvrir un lumière (qui vient de l’anglais « open the light »), Excellent je viens justement de faire un billet sur les expressions québécoises, ça va me permettre de compléter si j’en ai oublié. Les expressions québécoises populaires donnent au français d'ici toute sa saveur et sa particularité. Adjectif qualifiant le caractère invitant d'une situation ou d'un endroit, au Québec on l'utilise aussi pour décrire la nature hospitalière d'un individu : il est invitant, il est hospitalier. Adjectif ou nom masculin, propre au langage populaire québécois, il qualifie : (1) (adjectif) quelqu'un de radin, de pingre, d'avare ; (2) (nom) billet de loterie en Amérique du Nord sur lequel on doit gratter des cases afin de découvrir des lots gagnants. Nom féminin propre au langage populaire québécois, il désigne : (1) une femme vulgaire ; (2) une femme sexy. Nom féminin, courant dans le langage populaire québécois, issu du mot anglais «mop», et qui signifie serpillière. Skip to content. Appropriation du mot «sens» par le langage populaire québécois. Verbe propre au langage populaire québécois, vraisemblablement dérivé du mot scène, il définit les situations suivantes : (1) épier (ex : t'as pas fini de scéner dans les fenêtres…) ; (2) fureter (ex : je vais aller scéner dans ses dossiers pour trouver ce que je cherche). Verbe propre au langage populaire québécois, dérivé de l'anglais «bother» , il marque l'action d'ennuyer, d'embêter, de déranger quelqu'un. «, «c'est affreux !» (3) «c'est de la marde !», pour : «ça ne vaut rien !». Verbe courant dans le langage populaire Québécois, emprunté à l'anglais. Québécois 101 : Neutralisez votre accent anglais en français. Adjectif propre au langage populaire québécois, construit à partir du verbe «patenter» et qualifiant : (1) une personne qui répare n'importe quoi, un débrouillard ; (2) une personne qui travaille de ses mains, un artisan ; (3) une personne qui fait preuve d'imagination, un inventeur. 537 likes. Merci pour ce billet. Outre ses significations d'usage, on utilise au Québec le mot marabout à titre d'adjectif ou de nom masculin pour qualifier une personne de mauvaise humeur ou irritable. Verbe propre au langage populaire québécois, il qualifie une plainte, une lamentation, un sifflement que font les chiens pour manifester leur mécontentement ou leur douleur. Se sucrer le bec : Manger un dessert ou un aliment sucré. » ( un verre de coca , de Coke , ou autre soda ). De manière plus générale, on pourrait dire, lorsque le mot est utilisé au pluriel, qu'il s'agit de pagaille, de fouillis. Sorti de son contexte significatif habituel, cet adjectif caractérise, dans le langage québécois, la nature gentille et aimable d'une personne (ex : il est tellement fin, c'est-à-dire il est tellement gentil). Nom masculin emprunté à l'anglais et qualifiant le temps de travail fait en surtemps ; heures supplémentaires. Il s'agit de ruban adhésif, de scotch. Expression propre au langage populaire québécois. Il indique la nature d'un individu qui est drogué, défoncé. … À lire aussi: Découvrir la ville de Québec et Mes petites joies de l’hiver. Outre les sens qu'on lui attribue en général, les Québécois utilisent cet adjectif pour qualifier : (1) une personne, un animal ou un objet perdu ou égaré ; (2) des personnes ou des animaux dont l'esprit ou le comportement est dérangé. Il s'agit d'une serviette de table en papier. Préparer sa visite médicale en Afrique subsaharienne, Le Canada lève les obstacles à l’immigration de personnes malades ou handicapées, L’immigration pourrait s’ouvrir aux personnes handicapées au Canada, Adaptateur de voyage appareils électriques France Allemagne USA et Canada, https://transcendencetheatre.org/break-a-leg/, https://vidalingua.com/blog/quebecois-mots-expressions, Le Québec a massivement besoin de main d’oeuvre, Répondre sur les antécédents de notre résidence au Canada, L’Hôtel 71 nommé 3e meilleur hôtel au Canada et 1er au Québec, Permis de travail à l'aéroport avec EIMT et CAQ, Programme pilote des technologies de l’information (TI) et effets visuels (EV), Liste des professions en demande au Québec, Métiers qui offrent les meilleures perspectives d’embauche au Québec d’ici 2023. Par exemple, j’ai vu la programmation du Festival d’Été de Québec, j’trippe ben raide ! : C’est extraordinaire ! Nom masculin propre au langage populaire québécois. * Tiguidou! Issu du latin «pectinare» qui signifie «se coiffer avec un peigne», le mot existe depuis le 12e siècle avec des significations différentes selon les époques. On utilise straight : (1) comme adjectif pour qualifier ce qui est ordinaire, commun, banal ; (2) comme adjectif pour indiquer le caractère naturel de quelque chose, donc nature, pur, sans fard, brut (ex : un whisky straight, c'est-à-dire sans eau, sans glaçon) ; (3) comme nom pour désigner un individu hétérosexuel. Comment devons nous prononcer phonétiquement cette phrase en Québécois. Verbe propre au langage populaire québécois, on l'emploie pour marquer l'acte de : (1) flâner, perdre son temps ; (2) hésiter ; (3) manquer de structure ou d'organisation pour mener à terme un projet (4) avoir du mal à effectuer quelque chose (ex : focailler le chien avec quelque chose, c'est-à-dire avoir du mal à régler le problème. A mange comme quatre = Elle mange comme quatre. Le Québecois ne s’étend […] Investissement, le Canada 3e pays le plus attractif au monde, Davantage de millionnaires s’installent au Canada pendant que d’autres quittent la France, Histoire à succès : Un Français monte son entreprise d’hydravions au Québec, Québec, la meilleure ville au Canada pour lancer une entreprise web, Je suis au Québec depuis 3 ans et une envie de rentrer en France, Ma cabane au Canada ! Au Québec, on use du nom féminin «remorqueuse» pour parler d'une dépanneuse. Le mot gré a aujourd’hui le sens de « ce qui convient » ou « ce qui plaît » et « ce à quoi l’on consent volontairement ». Que signifie “avoir la fly à l’air” ? Outre ses significations d'usage, il ne faudra pas s'étonner des sens particuliers que la langue québécoise accorde à cet adjectif : (1) pour marquer l'enthousiasme ou la valeur esthétique de quelque chose : «c'est écœurant !», c'est-à-dire «c'est vachement chouette !» ; (2) un écœurant, c'est-à-dire un salaud. Terme culinaire usité au Québec pour désigner le bicarbonate de soude. Outre ses significations d'usage, les Québécois lui accordent le sens anglais de «punchline». Ne plus afficher. Et qui fige autour des pneux de voiture si on ne prend pas garde! Mauvaise utilisation du verbe aller dans sa conjugaison : 1ère personne du singulier. . Il en veut-tu? Qu’est-ce que de la broche ? Instructions . On en fait usage dans le sens de : (1) rapiécer quelque chose ; (2) pallier à une situation de façon temporaire ; (3) réparer grossièrement une bourde. C’est arrangé avec le gars des vues : Cela signifie que, comme au cinéma, l’issue de la situation était prévue et planifiée ou truquée et que le résultat était connu d’avance. Expression propre au langage populaire québécois, utilisée pour souligner l'approbation à quelque chose et qui signifie : «ça va comme ça» ou encore «dans ces conditions. On l'associe souvent à kitsch ou à vieux jeu. Chaque question présente 2 affirmations : une vraie et une fausse. Vous aurez envie d’utiliser certaines expressions québécoises au quotidien ! L’expression est « j’ai mon quota ». On a déjà parlé des anglicismes que les Français rêvent de voler aux Québécois. Au Québec, ce nom féminin désigne : (1) une sorte d'oignon vert qui pousse en hauteur ; (2) on en use également pour qualifier une personne grande et très mince (ex : ce jeune homme est une véritable échalote !). Dictionnaire des expressions Québécoises et leur traduction en Français de France. Il s'agit de travailleur à la pièce, surtout dans le milieu de la construction et son travail se pratique toujours «au black». Outre ses significations usuelles, ce verbe s'utilise au Québec pour marquer l'acte de vomir. Nom féminin courant dans le langage populaire québécois, emprunté à l'anglais «shot». Plein de bisous! Adverbe propre au langage populaire québécois, indique la nature abrupte, soudaine de quelque chose : brusquement, de but en blanc. Emprunté à l'anglais «to fit», ce verbe couramment en usage dans le langage populaire québécois signifie : (1) convenir (ex : ce genre de truc, ça fitte pas avec moi, donc cela ne me convient pas) ; (2) ajuster (ex : faire fitter un canapé dans une pièce, c'est-à-dire l'ajuster au bon endroit). Nom féminin français que les Québécois ont l'habitude d'utiliser, à titre d'adjectif, dans le langage populaire et qui signifie : trempé, mouillé (ex : la couche du bébé est trempe, il faut la changer…). Terme utilisé depuis fort longtemps dans la langue française, dérivé du mot «asture» chez Montaigne, et qui désigne le moment présent : maintenant, actuellement. utilisent leurs oreilles « écouter un film » pour se divertir devant leur écran…. Jamais une seule série d’émissions de télévision produite au Québec ne fut diffusée en France. Catcher exprime les actes suivants : (1) attraper ; (2) comprendre, piger. Ce nom masculin, outre ses sens habituels, signifie également au Québec : (1) remettre d'aplomb, c'est-à-dire guérir d'un accident ou d'une maladie ; (2) frapper d'aplomb, c'est-à-dire frapper avec force. Nom masculin propre au langage québécois, désignant un appareil ou un système permettant de mesurer le taux d'alcool dans le sang d'un individu, équivalent de l'alcootest, de l'éthylotest français. Expression propre au langage populaire québécois. 10 raisons pourquoi j’ai honte de mon pays d’origine! J’avais lu cette expression et malheureusement je ne la retrouve nulle part. Adjectif propre au langage populaire québécois. Les phrases qu’on entend le plus souvent, tu as raison « c’est plate », « c’est le fun », « bienvenue », « pantoute », « t’en veux – tsu » (d’ailleurs je comprenais « dessus », d’où ma réaction « mais dessus quoi? Juron québécois, issu du vocabulaire catholique, destiné, à l'origine, à porter atteinte au Saint-Sacrement (eucharistie). Le Québecois n’est pas infidèle, il saute la clôture. Il existe plusieurs expressions québécoises qui ressemblent aux expressions françaises mais qui n’ont pas du tout le même sens. Top 20 des expressions québécoises qu’on devrait importer en France, et au plus crisse ! Emprunté à la langue anglaise, ce nom masculin s'utilise chez nos cousins québécois pour qualifier une boum, une partie, une fiesta. Adverbe issu du vieux français, il signifie : pareillement, aussi, de même. Nom masculin courant dans le langage populaire québécois. Josiahd, être content en svp c’est être très heureux Adjectif masculin propre au langage populaire québécois, dérivé du verbe «sacrer», l'on en use au Québec pour qualifier : (1) le caractère de ce qui est fâcheux (ex : c'est sacrant cette situation !) 24 octobre 2020 à 2 h 49 min . Il s'agit de tout camion-remorque, fourgon ou fourgonnette. (réduction de: tu sais?). Son emploi est contesté. Nom masculin courant dans le langage populaire québécois, emprunté à l'anglais. Merci pour cette article très intéressant pour nous les hispanophones. Baquer : donner son appui, son accord. Et je dois avouer que parfois, nous avions un peu de mal à tout comprendre. Adjectif propre au langage populaire québécois, dérivé du nom et adjectif «lambin/lambine». Parmi les québécois, près de 80% sont francophones, le reste étant partagé entre l'anglais et d'autres langues. Adjectif propre au langage populaire québécois, qualifiant affectueusement un individu étourdi ou écervelé. Jérôme, 30 ans, je vis à Ottawa en Ontario depuis près de 10 ans. ». » Le petit-déjeuner ou encore les aliments de la vie quotidienne … On vous l’accorde, cela fait trois expressions d’un coup. On ne va pas se mentir, l’arrivée au Québec n’est pas forcement facile pour les oreilles françaises qui vont avoir besoin d’un temps d’adaptation. Arrête de te pogner le beigne : Expression utilisée pour dire à quelqu’un d’arrêter de ne rien faire. D'où l'expression: « Boss de bécosse », La figure, la gueule (mais donner une bine, Le bon dieu (comme dans la chanson des Colocs : Bon yeu, donne moé une job), L’aide sociale (d’où l’expression : « il est su’l BS », Un bout de laine (comme ceux qui se coincent dans le nombril, entre les doigts de pieds ou dans ‘craque! Emprunté à la langue anglaise «clutch», ce nom féminin désigne l'embrayage d'un véhicule motorisé. Déjà, en ajoutant à votre vocabulaire les fameux Y fait frette et j’trippe ben raide, votre immersion québécoise partira du bon pied. Être nu … Flagosse était un personnage téteux en son genre…. Dérivé de l'adjectif flâneur, les Québécois en usent dans le même sens que les Français : lambin, paresseux. Pour les français qui lisent ta réponse. On l'emploie au Québec pour qualifier : (1) quelqu'un de futé, d'intelligent ; (2) quelqu'un de vantard (ex : tu peux faire ton smatte tant que tu veux, c'est pas toi qui aura le poste !). : Nous utilisons cette expression lorsque nous n’avons pas bien compris ou bien entendu ce que quelqu’un nous a dit. En d'autres termes, il s'agit de bowling. Au Québec, le nom féminin singulier «peignure» représente la coiffure d'une personne. Cette expression québécoise signifie donc « s’accrocher », « se tenir prêt ». Trouvé à l'intérieur – Page 309Association québécoise de linguistique. Congrès. 5. Une couche de créations ( huit mots ) Les expressions locales sont très peu nombreuses , à peine 1 % . Trouvé à l'intérieurPetit guide du parler québécois. {Montréal, Canada}: Les Éditions Internationales Alain Stanké, 1997. Béliveau, Marcel. Savoureuses Expressions Québécoises. Adjectif propre au langage populaire québécois. Regardez les vidéos de la chaîne ELAMVideo sur Youtube. Entente entre Banque Nationale et Crédit agricole pour faciliter la tâche des expatriés, Un Québécois qui veut vivre avec sa copine brésilienne, Ottawa réunit les couples plus rapidement, Se mettre en « Neutre » à l’arrêt avec une voiture à boîte automatique. . L’expression fait allusion aux mouvements répétitifs de la tête qui veut tomber lorsque l’on s’endort, qui ressemblent à des mouvements de marteaux. On sait ce que veut dire « garocher quelque chose ». Elles aideront probablement nos visiteurs à mieux nous comprendre... Que veux dire cette expression "c'est tiguidou" Question 1/10. Nom masculin courant dans le langage populaire québécois, emprunté à l'anglais. Non ici ils appellent ça de la Guimauve, en tout cas à Montréal, Gatineau, Ottawa, Québec c’est de la Guimauve . Outre ses significations habituelles, le verbe «poser» signifie au Québec : photographier quelqu'un ou quelque chose. Si tu parles anglais, tu comprends sûrement le parler québécois mieux que certains Français ! Adjectif propre au langage populaire québécois, qualifie ce qui est de nature à faire peur, ce qui est effrayant. Pour environ 5000 expressions ou locutions utilisees au Quebec, l'auteur donne la signification et, a l'occasion, une variante ou l'equivalent en France ou un exemple d'utilisation a l'interieur d'un texte. Il s'agit du calice religieux, caractéristique à la religion catholique. 12 mai 2021, 14h30 6.3k Views. Le Québécois... pour mieux voyager, parce que communiquer c'est déjà voyager ! Avoir peur de tout. C'est-y l'chien qui a fourré ta mère ? Verbe propre au langage populaire québécois. Le phénomène inverse s’est produit avec le Québec et la France. Le blogue linguistique d'un Kastor québécois en France : équivalents français-québécois, expressions françaises et expressions québécoises, faux-amis franco-québécois, mots français, mots québécois, … Il désigne un dollar canadien. Trouvé à l'intérieur – Page 166The labeling of madelinot fiddlers and groups under the umbrella of “Québécois music” (a label that grates many islanders who identify more strongly with ... Comment obtenir ma double nationalité puisque je suis née au Canada ? Le Petit Livre des 1000 mots indispensables en québécois vous permettra de mieux comprendre le ton coloré des Québécois et, ainsi, d'apprivoiser la culture de ce coin de pays. Et que dire le doublage en argot parisien des séries de télé américaine qui sont traduites et doublées en France en argot parisien. On lui donne au Québec les usages suivants : (1) astiner quelqu'un, donc contredire cette personne ; (2) s'astiner avec quelqu'un, donc se quereller verbalement avec quelqu'un ; (3) s'astiner dans un projet ou s'astiner à faire quelque chose, donc s'entêter, même dans l'erreur. Et bien d’autres qui ne me viennent pas à l’esprit. Il s'agit de tongs ou de sandales de plage. Chaque mot, chaque expression est un précieux héritage des ancêtres. (1) se dit de l'ensemble des pièces d'un objet que l'on doit monter ; (2) se dit d'un ensemble de choses qui forme un tout (ex : le kit de cuisine, c'est-à-dire tout le mobilier de cette pièce) ; (3) tout le kit, c'est-à-dire la totalité de….