chengriha général origine

Il y a qu’en Algérie ou ces vieux essayent de nous démontrer le contraire, mais hélas, la mort est là pour leur démontrer le contraire en mourant en fonction sous prétexte de l’expérience (C’est aussi le cas du général Lamari…). C’était le cas pour l’actuel chef d’état-major, Ahmed Gaïd Salah, avant lui Mohamed Lamari et Khaled Nezzar.Manifestement, cette règle n’est pas appliquée à Lahcen Tafer. Non pas pour partir à la retraite, contrairement à ses collègues des autres Régions, mais pour passer une autre marche. En l’absence de mécanismes modernes et efficients pouvant réguler les changements politiques, les détenteurs du pouvoir seront contraints de puiser — comme de tradition — dans un fonctionnement archaïque du système.Cependant, cette mécanique à reconfigurer le pouvoir politique est de plus en plus rouillée, d’autant que les arbitrages ne sont pas assurés de la même manière. Une voie royale qui mène tout droit vers le sommet de la hiérarchie militaire. Une rampe de lancement.Dans la tradition de l’armée algérienne — une règle non écrite — le Commandement des forces terrestres constitue souvent une ultime étape pour atteindre la dernière marche.

« Suite au décès du Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, le président de la République, ministre de la Défense nationale, chef suprême des forces armées, M. Abdelmadjid Tebboune a nommé, lundi 23 décembre 2019, le général-major Saïd Chengriha en qualité de chef d’état major de l’Armée nationale populaire par intérim », lit-on dans le communiqué. De toute évidence, l’homme, désormais le plus ancien dans le grade de général-major, a «brillamment» assuré sa mission dans le très mouvant Grand Sud-Ouest. Ce prétexte de l’expérience n’est valable qu’en Algérie puisque dans les armés les plus développés y compris les superpuissances les vieux schnocks ont leur place dans les maisons de retraites.Il ne suffit pas d’être jeune faut il encore avoir de l’expérience et faire ces preuves pour prétendre à de hautes fonctions au seing de l’armée Algérienne maintenant souhaitons que le nouveau patron soit un homme de dialogue ce que n’a pas sû faire le marhoum GAÏD SALAH.Encore un vieillard au commande de l’armée ! De toute évidence, l’homme, désormais le plus ancien dans le grade de général-major,  a «brillamment» assuré sa mission dans le très mouvant Grand Sud-Ouest.Il présente les qualités nécessaires pour y parvenir.

Il est nommé Commandant des forces terrestres (CFT), succédant ainsi au vétéran Lahcen Tafer, en poste depuis 2004.Une promotion majeure pour ce haut gradé. Le commandant des Forces terrestres est le chef d'état-major, l'officier le plus gradé de la chaîne de commandement, des Forces terrestres algériennes.. L'actuel commandant des Forces terrestres est le général major Amar Athamnia, qui a remplacé Saïd Chengriha le 10 mars 2020. C’est ainsi que se pose la question de savoir si ces changements au sein de la l’armée connaîtront des prolongements aussi importants au sein de la direction politique du pays.Gagnée par un sentiment d’inquiétude, la société dans ses différentes strates semble préoccupée sérieusement par la manière avec laquelle le pays enjambera l’étape cruciale de 2019.

Saïd Chengriha est né le premier (1) août 1945 à El Kantara, dans la wilaya de Biskra, à 430 kilomètres au sud-est de la capitale Alger. Le chef d’état-major met en avant la nécessité d’instaurer «les règles d’alternance dans les fonctions et en faire une tradition militaire (…)».Il faut dire également que l’essentiel du commandement militaire est vieillissant et «usé» par la durée dans la fonction. Il devient à la faveur de cette nomination le troisième personnage de l’armée après le chef suprême des forces armées (président de la République) et le chef d’état-major. L’Algérie va-t-elle commander un escadron de Mig-29 auprès de la Russie?Pour des «contrôles médicaux périodiques»: Bouteflika évacué à GenèveSaïd Chengriha nommé chef des forces terrestres: Poursuite des changements au sein de l’ANP La physiologie humaine démontre clairement qu’après 70 ans les capacités intellectuelles et physiques sont nettement diminuées dans les meilleurs des cas s’ils ne sont pas malades. Hier, c’était au tour du général-major Cherif Abderrezak, commandant de la 4e Région, de quitter Ouargla, envoyé à la «retraite» pour être remplacé par son adjoint Hassan Alaïmya.Le même jour, le commandement de la 3e Région militaire change de main. Le remaniement qui s’opère au sein du haut commandement militaire durant ce mois d’août prend les allures d’un vaste mouvement. Informations sur la situation des droits humains en AlgérieCes importants changements interviennent à seulement quelques mois d’un rendez-vous politique décisif, celui de l’élection présidentielle, devant avoir lieu en avril 2019, mais dont les contours peinent à se dessiner.A qui le tour ? Au-delà des explications liées exclusivement aux impératifs de réorganisation de l’institution militaire et la nécessité «d’impulser du sang neuf pour une nouvelle dynamique», ce mouvement suggère des lectures politiques. Une lame de fond. Heureusement, que la biologie est là pour faire le nettoyage et que nul n’est éternel!Entrez les détails pour réinitialiser le mot de passeEn poursuivant votre navigation vous acceptez l'utilisation des cookies selon notre Saïd Chengriha (en arabe : سعيد شنقريحة, en berbère : ⵙⴰⵄⵉⴷ ⵛⵏⵇⵔⵉⵃⴰ), né le 1 er août 1945 à El Kantara (dans l'actuelle wilaya de Biskra région des Aurès, en Algérie), est un général algérien.. Il est le chef d'État-Major de l'Armée nationale populaire depuis le 23 décembre 2019, à … He was the commander of the ground forces and served as the army's interim chief of staff after the death of Ahmed Gaid Salah on December 23rd, 2019 until July 3rd, 2020 when he was officially appointed by President Abdelmadjid Tebboune.