(2003), cette approche explique le comportement d’un individu à partir de ses caractéristiques propres, de celles de son milieu, et enfin du rapport que l’individu lui-même entretient avec son milieu. Ce modeste travail n’a pas la prétention de faire le « tout de la question », mais de donner envie au professionnel de structure de s’informer sur ces aspects mal connus de la psychologie théorique.Nous l’avons dit, la psychologie telle qu’elle est généralement pratiquée en structure met l’accent sur les variables individuelles des sujets. Selon Moore et al. endstream En témoignent les articles au sujet de la psychologie environnementale dans l’Annual Review of Psychology, qui, par ailleurs, se concentrent quasi exclusivement sur les …
8 /Filter /FlateDecode >> 597 Cette définition parle d’elle-même, et montre que la psychologie environnementale a très certainement des éléments à apporter à la recherche dans ce domaine : environnementale est un phénomène important et le développement durable offre une solution possible à ce problème. << /Type /Page /Parent 3 0 R /Resources 6 0 R /Contents 4 0 R /MediaBox [0 0 842 595] :�\�-�K+��D�����Kh����]Aه�UL�:�1ҎbXedKw�!���N*�����\�:���R 2 0 obj endobj Comment ne pas prendre en compte l’environnement immédiat d’une personne qui le subit généralement plus qu’elle ne le choisit ?
�:�.~�co�c�Y�٣� �#P�z�K����G�]�8r�C�@ @ @ @ �T�[�ʿ�ݯ�ӆ?�]=GoA @ @ @ rh��#FT$���}^Muu���� � � �@v��7�bw��i�����s�@ @ @ "G`���{��QX@ @ @ �������������w�Ak-ʮΣ� -�6����YK�Ѯ��A���9�@ @ @ ��@�ʕ����VR���N=
�)���GoA @ @ �E��?y���G��4/~w��_��V���ހ � � �@��Of�|�GQ��x��S�p��x2E}��*� � �@���'�B�"YH��{y�Y�"�Et@ @ @ �����f�iݎԮ Dans son ouvrage, Psychologie environnementale, les relations homme-environnement, Moser (2009) propose la définition suivante : « La psychologie environnementale étudie (2012), différents types d’approche existent dans ce domaine de la psychologie :L’approche transactionnelle nous semble particulièrement intéressante à utiliser pour réfléchir sur les aspects psycho-environnementaux de l’accompagnement institutionnel proposé aux personnes habitant une structure de type médico-social. L’idée n’est pas de dire que ces théories sont de moindre importance car il paraît primordial de s’intéresser à ce que la personne ressent, pense ou imagine. J'��%�wba��� a��X�=O��PU��¾���Ir�Ѻ$�L)z���â��[9\UUW��؞;��QNnvw�c؇j����TA���
�&L�B�!#5�p��w:�\�A�0�H%S�\U��L�a��H���0��:�\S�B,GV�&o,fdXU�pd���vF
y�q��d�i �����o��fxXaf��/J�z�wo��}^aP\ĉ��N;�cD���#Y�1MX"�����R��Gߛ�'c���)�;S�k\�:oV�q��o} La grande vulnérabilité des personnes vivant dans ces structures est en effet essentielle à prendre en considération, notamment dans leur faible possibilité d’action vis-à-vis de ce qui les entoure. 1 « Psychologie environnementale » est la formulation qui est retenue aujourd’hui le plus souvent en ; 2 En fait, cette impression « labyrinthique » est présente au sein même de la recherche. environnemental (adj.) >> /Font << /F1.1 11 0 R /F2.0 12 0 R >> /XObject << /Im1 8 0 R >> >> Elle explore les « interrelations entre l’homme et son environnement dans ses dimensions spatiales, sociales et temporelles et les considèrent comme un système caractérisé et indissociable » (Charras et al, 2012). << /Length 5 0 R /Filter /FlateDecode >> C’est dans ce sens que Moser (2003) définit la psychologie environnementale comme « l’étude des interrelations entre l’individu et son environnement physique et social, dans ses dimensions spatiales et temporelles ».Selon Charras et al. La définition de la santé mentale peut se baser sur trois facteurs principaux : ... C’est dans ce sens que Moser (2003) définit la psychologie environnementale comme « l’étude des interrelations entre l’individu et son environnement physique et social, dans ses dimensions spatiales et temporelles ». mais également sociales, voire institutionnelles. << /ProcSet [ /PDF /Text /ImageB /ImageC /ImageI ] /ColorSpace << /Cs1 7 0 R 4 0 obj Ainsi, il nous faut considérer l’idée que ce n’est pas tant un lieu où l’on prend soin, mais bien un lieu qui prend soin de par un fonctionnement propice au bien-être du sujet. Comment occulter l’impact d’un environnement idéologique ou culturel, alors même que le handicap mental restreint bien souvent l’expression de la volonté ?De plus, une structure médico-sociale n’est pas un lieu de prise en charge « classique » au sens d’ambulatoire, mais un lieu de vie où l’accompagnement quotidien est une thérapeutique à lui seul.